La sac « Working Boy » de M. Laurent

Monsieur Laurent n’en a peut-être pas l’air, mais c’est un baroudeur.

Sac à dos en cuir motard Madagascar IZAHOIl cherchait une sacoche multi-fonctions, mais n’arrivait pas à la trouver. Quelque chose de solide. Qui dure. Alors il l’a dessinée. Et nous l’avons confectionnée. Toute en cuir de zébu. Pour ranger sa tablette, son smartphone, des papiers, un dossier, mais aussi pouvoir la porter sur le dos  quand il va à moto, tout autant qu’à la main quand il arrive en rendez-vous. Monsieur Laurent voulait même y accrocher pull ou un coupe-vent.  Alors ? Baroudeur Monsieur Laurent ? Hyper-actif c’est certain.

Ce sac se porte en bandoulière dans le dos, mais peu également être ventrale dans la rue, en bandoulière latérale, ou encore se porter à la main.

Il est également équipé d’une ceinture ventrale pour les longs trajets en moto.

Entierement réalisé à la main, ce sac à dos en cuir de Zébu nécessite 96 heures de travail.

Les photos ont été prises dans les ateliers des Red Island Riders – Harley davidson à Antananarivo

La sacoche de « Monsieur Fred »

           « Je prends mon baise-en-ville », j’me tire à Brickaville … avec mon … » – Serge Gainsbourg

Sacoche pour Homme en nubuck de zébu, Maroquinerie IZAHO Madagascar 10Nous sommes devant une pièce exceptionnelle : une sacoche de ville pour Messieurs, en véritable cuir de Zébu, couleur chocolat avec une finition Nubuck.

Fabriqué à l’unité dans les ateliers IZAHO, cette sacoche qui allie élégance et raffinement, est entièrement cousue main, au point sellier.

Sacoche pour Homme en nubuck de zébu, Maroquinerie IZAHO Madagascar 8Un réhaut de Boa teinté blanc agrémente certaines ouvertures d’une touche discrète très originale.

Quatre poche viennent accommoder l’intérieur doublé de coton jaune, le rabat et le dos de ce magnifique objet au caractère si particulier.

Cette sacoche mesure : 280 x 340 x 90 mm

Entièrement réalisée à la main dans nos ateliers, cette sacoche nécessite 64 heures de travail.

  Photos prises  à l’hôtel « Le pavillon de l’Emyrne« , à Antananarivo.